" La première rencontre propose près d’une heure d’entretien afin que, l’un et l’autre, nous puissions nous rencontrer. Cela me permet de comprendre ce qui peut intéresser positivement mon interlocuteur et nourrir ainsi nos prochains contacts. Du côté de l’abonné, ce premier rendez-vous téléphonique doit l’aider à apprécier ma personnalité. Si je devais ne pas lui convenir on peut mettre fin à l’abonnement sans difficulté. 

Ensuite, je passe mes appels selon un agenda que l’on a défini lors de notre première rencontre.

Les plages horaires sont confirmées d’une semaine sur l’autre pour faire face aux impératifs (RDV médicaux et autres obligations personnelles).

Si la personne ne décroche pas j’informe la personne de confiance qui est mentionnées au contrat. »

 

Qu'en est-il de la confidentialité de l’appel ?

 

« Elle est essentielle. Par contre, si l’abonnement est offert par un enfant ou tout autre ayant droit, je peux être amenée à le contacter si :

• la personne n'a pas répondu
• je soupçonne un abus de faiblesse
• je crains toute autre situation délicate

Je suis formée au secourisme physique et en santé mentale, aussi je me dois de donner l'alerte si quelque chose m'alerte."

 

Les conversations PETIT BONJOUR sont ouvertes à toutes personnes ?  

 

"En effet, toute personne parlant français y a accès.

Il convient aussi de vivre dans un fuseau horaire compatible avec la disponibilité de l'interlocutrice.

L'idéal est de converser sur un numéro portable en what's ap. Cela limite les risques de coupure et garantie la qualité de l'écoute à l'international. Souvent j'appelle un fixe ou un simple portable, mais de plus en plus de mes abonnés bénéficient de what's ap et ainsi on peut échanger des images : les fleurs du jardin ou la bonne réception de mes cartes".